Tchad : les travailleurs humanitaires terrorisés par un chef de clan, lui-même terroriste !
Venus dans le cadre de leur travail humanitaire au Tchad, plusieurs étrangers sont quotidiennement
intimidés, leurs biens pillés par des groupes armés qui relèvent directement de la responsabilité du pouvoir de Ndjaména.
Personne ne croit au Tchad, du moins au plan local, à la version officielle tenue par les autorités en place dans le traitement du dossier se rapportant aux rapts des
humanitaires.
A commencer par Idriss Deby lui-même, qui est un véritable ravisseur doublé d’un chef de clan terroriste, qui a semé autant de désolations et d’amertume dans de nombreuses familles tchadiennes,
victimes de son règne au pouvoir.
Aucun régime en Afrique ne peut être comparé aujourd’hui, à celui d’Idriss Deby au Tchad, au regard des faits et actes posés imputables à son
pouvoir.
C’est bien dans les agglomérations urbaines et rurales du Tchad profond, que les pires atrocités sont commises par les proches d’Idriss Deby, qui brutalisent des paisibles citoyens sans défense et dans l’impunité totale.
Au nez et à la barbe des représentants des institutions internationales, accréditées dans le pays, et bien entendu des organisations humanitaires
internationales, qui, à leur tour deviennent, elles aussi victimes sans se rendre compte, de ce régime devenu encombrant.
A Ndjaména, des opposants civiles, des simples citoyens, des leaders des organisations associatives, des journalistes sont harcelés ou enlevés
au vu et su de leurs familles, sans que justice ne leur soit rendue.
Alors devant un tel cas de figure, on est en droit de qualifier le régime de Ndjaména, d’appliquer à la fois, un terrorisme d’Etat à l’encontre de
ses propres citoyens et des expatriés venus dans l’exercice de leurs fonctions.
Au niveau de notre blog, nous estimons qu’il est temps que la France qui accorde un large crédit à ce pouvoir entièrement militarisé et
communautarisé à la limite clanique, se démarque d’Idriss Deby pour concéder aux Tchadiens, l’ultime chance d’ opérer dans un bref délai un changement politique devenu urgent et sollicité par tous.
Nguebla Makaila