Affaire Abderahman Koulamallah: Réaction à l'article de sa fille aînée

Ce n'est pas le fait que ton père ou toi ou ton frère gère son compte Facebook qui nous intéresse. Je dis bien nous, les
Tchadiens qui ne souffrent d'aucune improbité morale. Ce qui nous incite à réagir c'est le simple fait qu'il existe malheureusement encore aujourd'hui des minables qui donnent
confiance aux Koulamallah. Ce n’est pas parce que l’accident de l’histoire a pondu une négation aux premières heures de l’Indépendance de notre pays que des rejetons continuent à
bénéficier un cheque en blanc en accrochant à ce repère comme une reconnaissance positive qui leur accorde un droit de polluer notre sphère public par des mensonges, délations, hypocrisie,
bassesse, et que sais-je encore! Cette peste de famille qui ne mérite pas de se faire coller à la peau notre chère Tchadienneté continue impunément à profiter de la largesse et de
bienveillance des dignes Tchadiens. Et qu'est ce qu'on récolte comme récompense au finish?
La traîtrise... Eh oui, les Koulamallah ou le foyer de la traîtrise ne cesse d'amuser cette désobligeante
galerie...De grâce, effacez vous de notre saint scène public. Vous l’aviez assez souillé, depuis les nuits de temps jusqu'aujourd'hui. La mauvaise nouvelle, mes frères et sœurs vrai
(es) tchadien(nes) est qu'il paraît que les Koulamallah ont pondu des progénitures qui sont déjà enrôlées dans l'école de la traîtrise, chère à leur ascendants. Arrête donc,
petite traîtrise. Que tu sois la fille ainée ou la cadette, sache tout simplement que vous faites la honte de notre pays, notre chère patrie le Tchad, terre de nos aïeuls aux esprits
saints.
Comment acceptes-tu de t'afficher publiquement et sans vergogne comme étant fille d'une coquille vide (comme un vrai
patriote le lui avait remarqué une fois) qui qualifie Deby tantôt de "vrai démocrate" que le Tchad ait disposé, tantôt de "dictateur" qui ne comprend que le langage des armes. Tantôt il se
refugia en France pour se faire finalement réembarquer via air France à Ndjamena, tantôt se refugia à Kousserie (Cameroun) pour enfin se faire prier de regagner dare-dare Ndjamena via le
pont Gueli, tantôt encore pour une 2e fois se retrouva en France juste parce qu'on a bouffé l'argent destiné à la presse nationale, tantôt se précipita à déclarer la fin du match et accabler la
présidence par des lettres qui font dresser les poils même aux morts! Oui il va falloir lire les phrases suppliantes contenues dans ces différentes missives pour se rendre compte que la honte
n'hésite pas chez les Koulamallah. Alors ainée fille de Koulamallah, nous n'avons pas besoin de tenter de répondre à cri de débarras puisque nous préférions plus avoir l'avis des vrai
(es)Tchadiens et Tchadiennes là dessus et toi, petite fabrique de la traîtrise, tu peux nous faire plus plaisir si tu te barres gentiment et rester accrocher aux mamelles de RMI (assistance
sociale) française et continuer à te faire un nid là bas. Lorsque la justice tchadienne aura statué sur le sort de ton père de personnage le plus carnavalesque que les Tchadiens ont
jamais connu, prière de l'enlever de notre cher pays, le territoire de nos aïeuls aux morales saintes et le caserner là-bas en France avec toi. Car paraît-il que les Gaulois sont assez généreux
pour maintenir sous mamelle n'importe quel aventurier, n’importe quel comique, mais ici non, puisqu'avec l'argent de notre pétrole, nous avons beaucoup d’autres choses à faire, des projets à
réaliser pour le développement de nos citoyens et surtout veiller à l'intégrité de leur probité morale.
De grâce, ne nous rabâcher pas les oreilles avec les historiettes d’un rigolo qui n’est d’aucune contribution pour le bien
être de notre population. Nous avons déjà d’autres chats à fouetter. A bon entendeur salut!
Mowaffak Maarouf
Ndjamena, Tchad