Tchad: la Cellule syndicale du Ministère des Affaires étrangères reçue par
La cellule syndicale du Ministère des Affaires Etrangères tente de se relever de son agonie après un coup de marteau par Cherif Mahamat Zène, ministre du népotisme et du clientélisme
Pendant ses deux ans au Ministère des Affaires Etrangères, l’ex locataire du mur de Gardolet se comportant en empereur du Tchad (cf son bureau actuel pour ceux qui ont eu la chance d’y entrer et ses actes népotistes) a mortellement martelé la cellule syndicale au point où certains rescapés ont rallié son camp et d’autres ont démissionné en déposant une lettre en bonne et due forme. Trois semaines après la fin de l’empire cherifien au Ministère des Affaires Etrangères, la cellule tente de se relever de son angoisse extrême. Elle peut espérer aller plus loin si elle reconnaît ses tares et engage une véritable reforme afin de la rédynamiser.
Ce que reproche la cellule syndicale à cherif, ex locataire du foreign office
Nommé le 24 décembre 2017 à la tête du département chargé de l’exécution de la diplomatie tchadienne, le Plus Népotiste et le Plus Rancunier des tchadiens voire le « PLUS PIREMENT PIRE PIRE » des Ministres des Affaires Etrangères du Tchad, a semé un désordre que tout le désordre du Tchad indépendant depuis le 11 août 1960 réuni, ne saurait suffire ni faire la moitié. Il a contribué à faire reculer la diplomate tchadienne à un siècle de par ses actes de cousinage, népotisme, clientelime. Non seulement, les ambassades et consulats du Tchad sont remplis des siens plus médiocres que lui-même mais même à l’administration centrale zène a su placer surtout « les né à Moussoro et autres siens» à des postes techniques du Ministère dont CERTAINS et CERTAINES, sont incapables de rédiger une seule correspondance pendant que les grands cadres expérimentés errent ne sachant à quel saint se vouer. Et si on permettait à zène de signer les arrêtés de nomination des premiers secrétaires dans les ambassades tel qu’il aurait souhaité, tous ses cousins et cousines du village allaient être des diplomates fabriqués comme lui-même. L’on se demande par moment si zène en agissant ainsi fait du bien aux siens, fait du mal au Ministère, au peuple tchadien ou au Président de la République qui l’a nommé. En vérité on aura tout vu avec zène sauf un homme de courte taille enceinte. Il fallait que zène fasse encore un an au foreign office pour transformer le ministère en royaume ou empire « MOUSSORONIEN » où même tous les plantons du Ministère seront UNIQUEMENT les siens (tous les chiens de Moussoro deviendront rois). Heureusement que le Président de la République a enfin compris que le séjour de zène au Ministère n’est que pour décrédibiliser la diplomatie tchadienne et semer un désordre interminable. Il n y a que sous zène où les personnalités peuvent être nommées pour juste quelques mois voire semaines pour un transit ou pour briller d’une incompétence averée. Celles qui sont de transit au ministère doivent continuer leurs destinations finales (cf les deux ex portes paroles dont l’un bombardé à Génève comme ambassadeur et l’autre qui a eu plus de la chance de se faire tailler un poste spécial et sur mesure à Addis). D’autres hyper incompétens sont juste rappelés à d’autres fonctions en un laps de temps. Il n’existe que sous zène où dans l’histoire du foreign office on est à plus de 3 DG du Ministère en moins de trois ans. Non seulement tout son entourage est nommé mais les bénéficiaires de sa manne ont eu la possibilité de prendre service afin de bénéficier des salaires costauds puis ils sont revenus occuper leurs postes gallardement à la centrale. Une manière de dire au personnel que sous zène on peut avoir deux postes dont l’un à la centrale et l’autre à l’extéreur. Comme ci s’il n’existe pas d’autres cadres au ministère.
« J’ai reçu l’aval du Chef de l’Etat pour dégager ceux qui ne travaillent pas » a dit zène à ses collaborateurs au cours de plusieurs réunions où il n’a jamais cessé de vociférer sa colère sur eux. Pendant qu’il n’a pas encore fini de les dégager, il fut parmi les « dégagés » (bravo au Chef de l’Etat Son Excellence Idriss Deby Itno, à la diplomatie tchadienne et à la cellule syndicale !) de la manière dont son nom figurait parmi les agents ne disposant pas de dossiers à la fonction publique (cf. arrêté N°369 de la fonction publique en date du 31 octobre 2018). Il aurait été le premier tchadien dont le salaire devrait être amputé, un ministre ne disposant pas les dossiers à la fonction publique encore que son nom a été affiché partout au ministère mais hélas !
L’homme allait faire une défaite cette fois avec le projet de nouvel organigramme tellement qu’il a été monotone, ennuyeux, assommant, sporadique avec le changement de ce texte fondamental régissant le fonctionnement du Ministère mais comme il est tellement chanceux dans sa vie, l’organigramme avait finalement été validé avec milles et une erreur de fond et de forme. Dans moins de deux ans (2018 et 2020) l’organigramme, un texte dont la révision DOIT réunir une commission des experts du ministère, a été deux fois révisés (certainement le super connaisseur se serait enfermé seul dans son bureau pour le faire selon certaines sources de ses propres proches bénéficiaires de ses mannes) regorgeant toujours de nombreuses erreurs sachant que tout ce que zène touche est probable de contenir des erreurs de fond et de forme (cf https://diplomatie.gouv.td/le-mot-du-ministre//: mot de bienvenue contenant des erreurs y compris le nom du ministère devenu kilométrique et note verbale du 17 décembre 2018 désignant, un sien, commerçant de fer à béton comme agent consulaire au Benin….et la liste est longue). Comme pour dire que cela ne suffit pas, zène a fait passer un autre projet d’organigramme le 19 février 2020 en réajustant les postes pour les siens (ses véritables oreilles) massivement recrutés au Ministère par décret n° 1145 et 1146 du 9 aout 2019 puis précipitamment affectés sans avoir passé un stage de rotation d’une année afin d’occuper tous les bureaux avant l’arrivée de la dernière promotion des énarques (une des promotions si vaillantes et actives). Il aurait ordonné à son ex CRP zelé comme lui-même de collecter uniquement les CV des siens nouvellement recrutés pour leur faire bénéficier de promotion si l’organigramme venait à être publié. Ceux qui le connaissent ont compris son jeu. Pendant que la tendance est vers la réduction des dépenses publiques, zène n’a guère compris cela et ne le comprendra jamais et a augmenté les directions et divisions du ministère afin de continuer à placer les siens. Tous les consulats du Tchad sont devenus par un baton magique uniquement des consulats généraux (ni consulat simple ni honoraire). Heureusement, pour les uns et malheureusement pour les autres, cette fois-ci zène aurait échoué car il n’a fini de remplire ces missions diplomatiques des siens comme tant souhaités. Même un chef de famille de quatre personnes consulte son épouse et ses deux enfants avant de prendre certaines décisions, pourquoi pas zène, peut-être trop fort pour se rabaisser ni consulter voire écouter ceux que lui-même placés ? (Peut être la technique de : bouche bé et mangez car vous en avez déjà eu pour votre compte) L’on gagnera à supprimer toutes les facultés de droit dans toutes les universités du monde si tous les juristes se comportaient comme lui (une nullité sans faille et aveugle dans la lecture, compréhension et interprétation des textes juridiques régissant l’administration et la diplomatie tchadiennes, ce qui confirme les sources selon lesquelles il aurait difficilement validé les unités d’enseignement à la faculté de droit d’où il serait sorti encore que certains savent d’ailleurs comment il y est parti). C’est peut-être la logique des SUPERS JURISTES ET/ OU DIPLOMATES fabriqués. Un super juriste qui bien qu’ayant étudié en ex URSS a été INCAPABLE de faire du sommet Afrique-Russie tenu à Sotchi les 23 et 24 octobre 2019, un véritable succès pour le Tchad comme ce fut le cas chez les pays voisins. D’ailleurs ceux qui l’y ont connu savent qui il a été et par comment il y a été. C’est la preuve que zène ne vaut rien et donc inutile de penser qu’on peut compter sur lui. Au contraire, on peut compter sur lui si on veut construire un pays digne de nom dont la devise serait Rancune-Népotisme-Médiocrité. En tout cas avec zene, adieu à la méritocratie car avec lui on peut rêver de TOUT sauf meritocratie !
En définitive, les articles précédent ont été clairs au sujet de l’ex locataire des murs de Gardolet, se comportant en roi absolu : « le bureau que tu occupes aujourd’hui, cher ministre parachuté, quelqu’un l’a occupé hier et un autre l’occupera demain a-t-on coutume de dire ». « Un jour le personnel du Ministère se réjouira ». Ce qui finalement fut fait bien que l’attente fut plus longue que l’éternité. La plaie inguérissable, nauséabonde, ouverte, atone, secrète, semblable, aigue, chronique, inflammatoire, détersive, proliférative, angiogénétique…… voire plus que la fibrine et les virus VIH, Ebola voire coronavirus a été finalement cicatrisée.
Zène qui a juré de ne jamais négocier avec le syndicat se retrouvait un temps en train de le faire en demandant au syndicat d’intégrer la Commission Administrative et Paritaire dont le décret N°185 de 2002 fixe clairement sa composition pour ceux de son camp qui SAVENT AU MOINS LIRE. Il ne s’est pas arrêté là. Il aurait fait pression sur le SG de la cellule syndicale du MAE pour dementir un artice publié le 15 juin 2020 sur le blog de Makaila, un véritable blog d’opposition, très célèbre et défenseur des droits de l’homme donc ennemi numéro 1 de zène, dans un français regorgeant mille et une fautes d’orthographe et de grammaire (un seul paragraphe). Le syndicat est un partenaire incontournable de l'employeur. En défendant les intérêts des travailleurs, il défend également ceux de l'employeur. Malheureusement chez zène, il est un ennemi qu'il faut à tout prix abattre ou dissoudre. Le plus fort fabriqué comme Cherif a besoin du plus faible et le pauvre a réciproquement a besoin du riche. Nul n’est autosuffisant encore que ceux qui n’ont pas la mémoire courte savent que le plus fort deviendra un jour et d’ailleurs plus facilement plus faible. Quelle que soit l'étape de la vie à laquelle nous sommes actuellement, avec le temps, nous serons confrontés au jour où le rideau se ferme dit-on. En tout cas quel serait le sort des syndicalistes retrogrades qui se sont livrés à zène à la dernière minute et malheureusement, il est finalement ejecté ?
Si zène était un pays, beaucoup souhaiteraient être apatrides plutôt que d’avoir la nationalité cherifienne. Au contraire, il serait plus peuplé que l’Inde et la Chine réunies s’il était un pays ou un enfer peuplé de rancune, de népotisme, de division et de médiocrité. Si CMZ était un virus, on se demande si un seul être vivant au monde serait assez fort pour lui résister tellement qu’il est dangereusement nuisible.
En fin la diplomatie tchadienne sans cherif : UNE VICTOIRE HISTORIQUE QUI REJOUIT GRANDEMENT LES CŒURS LONGTEMPS ATTRISTES.
L’éviction du semeur du désordre et dictateur du 21è siècle, dénommé Cherif Mahamat Zène, du Ministère des affaires étrangères du Tchad, l’homme qui se croit super juriste-diplomate, mort de son propre poison, fait jubiler les cœurs des opprimés du Tchad en général et ceux du Ministère des Affaires Etrangères, de l’Intégration Africaine et des Tchadiens de l’Etranger en particulier. C’est donc avec un visage très ravissant et souriant que le personnel de la diplomatie à la centrale et dans les missions diplomatiques a accueilli le départ de cherif du grand Ministère de souveraineté. Il est désormais face aux journalistes et donc ceux qui l’aiment doivent lui conseiller les conduites à tenir afin qu’il réussisse à mettre au moins deux jours avant sa sortie du gouvernement.
C’est avec grande satisfaction et joie incommensurable que le personnel du Ministère des Affaires Etrangères, de l’Intégration Africaine et des Tchadiens de l’Etranger de la République du Tchad et, en particulier la cellule syndicale apprend les très bonnes nouvelles tant attendues. Il s’agit de l’éviction de Chérif Mahamat Zène du foreign office, « un dégageur dégagé » selon certains termes, dans le gouvernement du 14 juillet 2020. Ses deux ans à peine passés à la tête du Ministère ont duré plus que l’éternité de l’enfer dont parlent les religieux (chrétiens et musulmans, partisans des plus importantes religions du Tchad, prônant la paix et non la division comme cherif). Trop RANCUNIER, CUPIDE, ZELE, SPECIALISTE EN RAGOT, MECHANT, ARRONGANT, TRIBALISTE, INJUSTE, NULLARD, AUTOSUFFISANT, IMPOLI envers ses ainés académiques (ex URSS et autres) et professionnels ainsi que ses parrains et SURTOUT TROP TROP ORGUEILLEUX et voleur de véhciule d’état pour être un bon homme d’état politiquement, administrativement et diplomatiquement, le Tchad n’a pas besoin de ce type d’individu qui sacrifie toujours l’intérêt général voire national au profit des intérêts partisans et égoistes. Le respect des textes et de la déontologie diplomatiques notamment la rotation dans les missions diplomatiques doivent être de mise. Il en va de la carrière de tout un chacun et nul n’a le droit de mettre une barrière comme l’a toujours fait Cherif Mahamat Zène et continuera certes à le faire dans sa nouvelle fonction de ministre de la communication. Toutefois, il rencontrera les journalistes sur son chemin à moins qu’il ne demande secours au journaliste Makaila qu’il a parachuté ambassadeur à Génève.
Espérons vivement que le départ de zène mettra fin à la kermesse du désordre qui a pris une vitesse de croisière.
Cherif Mahamat zène à la communication : une sanction ou une porte de sortie du gouvernement ? Dieu seul sait.
En fin ayant quitté la diplomatie tchadienne à l’issue du remaniement du 14 juillet 2020, cherif toujours plus pressé que la diarrhée a déjà fait la prise de service hier 16 juillet 2020 au Ministère de la communication, porte parole du gouvernement. Il aura devant lui deux grands défis sachant que le Ministère de la communication est différent du Ministère des Affaires Etrangères : savoir gérer les hommes et faire preuve des qualités communicationnelles, deux choses où cherif brille par sa nullité absolue.
L’orgueil et l’autossuffisnce de l’homme de Moussoro ne s’est pas fait attendre dès les premières heures de son séjour à la communication. Déjà sur son compte twitter l’homme écrit : la passation de service entre moi et mon prédecesseur. La petite preuve d’humilité aurait bien voulu que cherif cite son prédécesseur avant tout, de sorte qu’il dise mon prédecesseur et moi. L’orgueil de cherif et son manque d’humilité le tout corroboré avec le manque de savoir vivre ne lui permettent guère de faire montre des bonnes manières. A la passation de service au Ministère des affaires Etrangères aujourd’hui 17 juillet 2020, l’homme parle des reformes de nullité abolue qu’il a engagées afin de faire chavirer la diplomatie tchadienne. Oui il en a eu le courage de rappeler cela.
Adieu à zène et bon nouvel élan à la diplomatie tchadienne aujourd’hui sans zène (no short man, no short idea any more) !
Attendons de voir combien de temps cherif mettra à la communication lorsqu’on sait qu’il n’a aucune qualité communicationnelle.
Depuis le 14 juillet, les commentaires et disputes sont monnaies courantes sur le départ de cherif Mahamat zène du ministère des affaires étrangères qu’il a géré comme sa petite boutique. En effet, on observe souvent deux camps se créer au foreign office du Tchad. D’une part les petits cherifiens dont la plupart (ses cousins, neveux, nièces etc..) massivement issus du decret du 9 aout 2020 sont mécontents et dégonflés car bien que moins expérimentés, stagiaires, très zelés comme leur parrain, attendaient à fêter leurs nominations dans les différents projets de decret initiés pour faire d’eux des directeurs techniques, des directeurs généraux techniques et de personnel diplomatique dans less missions diplomatiques du Tchad. D’autre part, les marginalisés parmi lesquels certains noms ont été envoyés à la fonction pour être rayés de la liste des fonctionnaires du Ministère (méchanceté de l’homme) mais heureusement sans une suite favorable de la fonction publique, jubilent le départ de leur bourreau cherif. Même dans les missions diplomatiques du Tchad à l’extérieur l’on rapporte la scène où les cherifiens aussi nuls que leur parrain craignent déjà leur sort surtout avec le retour éventuel de l’Ambassadeur Adoum Baba, ancien Inspecteur Général qui fut parmi les marginalisés de cherif. Deux bagarres rangées ont failli s’observer il y a une semaine entre les jeunes issus de ces deux camps (camps cherifiens et camps des marginalisés).
Les doléances actuelles
Le départ de cherif apprend-on est l’une des plus bonnes nouvelles tant attendues car il permettra certes au nouvel homme fort, Ambassadeur Amine Abba Sidik de faire des véritables reformes afin de redonner à la diplomatie tchadienne ses lettres de noblesse, mises de coté par cherif pour ses intérêts partisans, s’il le souhaite bien. Pour y parvenir le nouvel homme fort doit se faire entourer des hommes rompus et pointus dans la diplomatie, reviser l’organigramme de cherif (un orgnigramme revisé trois fois en à peine deux ans c’est-à-dire le 12 mars 2018, le 7 juin 2018 et en fin le 19 février 2020 mais toujours est il qu’il est resté un véritable brouillon des brouillons) en restaurant les postes stratégiques anarchiquement supprimés par cherif tels que les postes de premiers conseillers tout en supprimant les postes des siens tels que le poste de conseiller en charge des questions sociales confié à son cousin Béchir Issa Hamidi à l’Ambassade du Tchad à Addis, rappatrier dans un bref delai les nullards (commerçants, journalistes et analphabètes) que cherif a fabriqués « diplomates » dans les missions diplomatiques pour lui rapporter quotidiennement et mettre de batons dans les roues à leurs chefs de missions, faire des nouvelles nominations basées sur les compétences, annuler certains actes nepotistes et discriminatoires dont certains pour le seul but de nuire et décrédibiliser la diplomatie tchadienne, concevoir un statut particulier pour le personnel du ministère etc.
J.S.W. Mht, membre du Nouveau Syndicat qui défend les injustices