Tchad: viol sur mineure persiste !
Fait divers: Un homme âgé de 51 ans viole sa fille adoptive
Au moment où le gouvernement et ses partenaires sous l'impulsion du président de la république s' attèlent à lutter contre les pratiques tendant à compromettre l'avenir et le bien être des enfants en général et de la jeune fille en particulier, certains responsables des services déconcentrés même de ľEtat qui abusant de leur titre continuent à perpétrer ces actes ignobles sans pour autant être inquiétés.
En effet, il s'agit de ALLARASSEM GUIDIMBAYE BENJAMIN, Chef de Secteur ONDR du Mandoul Occidental (Bédjondo) qui a violé sa fille adoptive âgée de 15 ans, la dernière leur a été confiée dés l'âge de 6 ans (lui et sa femme) or la femme du bourreau n'est rien d'autre que la tante maternelle de la victime.
Selon une source digne de foi le monsieur a pris l'habitude d'abuser de la fille le plus souvent en l'absence de sa tante et ce depuis Maro lorsqu'il était chef secteur là bas. Ayant donc pris goût et convaincu que ce serait difficile pour lui de s'en débarrasser au cas où !!!!????
C'est ainsi que durant la campagne agricole 2015/2016 lorsque l'Antenne PNSA de Sarh a émis le besoin de recruter un gardien pour le compte du secteur ONDR, le Chef de Secteur violeur à simplement fait appel pour ce poste à son beau- frère depuis Bangoul dans le département de Bahr- Sara qui n'est autre que le père biologique de la fille violée dans le but d'atténuer les choses si jamais il est pris main dans le sac .
Bédjondo abrite un marché hebdomadaire tous les samedis où la femme du bourreau s'y rend régulièrement pour les provisions, à ses occasions d'absence le mari reprend avec ses actes habituels et comme le malheur à pris place ce jour, les autres enfants de la cours l'ont surpris en pleine action à travers les fenêtres n'ont fermées . Aussitôt fini avec son besoin et rassuré que ces enfants vont dévoiler le secret à leur maman, il s'est mis à leur poursuite comme un affolé, transformant ainsi leur petite cours en un terrain de course de vitesse.
La femme, une fois rentrée, est alertée par le cri des enfants et fut mise au parfum de la nouvelle et sans tarder elle a menacé de quitter son foyer au profit de la nouvelle découverte de son mari ( sa fille adoptive).
Le violeur a cependant reconnu les faits qui lui sont reprochés et demande à sa femme de se ressaisir.
La colère étant à son comble et la dernière ne pouvant plus supporter cet acte s'en est pris violemment à sa nièce et la sommant de quitter la maison le même jour. Heureusement, la fille a pu trouver refuge auprès du gardien, son pauvre père biologique qui se trouve au sein du secteur pour y passer nuit. Sous les menaces persistantes de la femme du violeur de ne plus voir le gardien et sa fille, le chef de secteur violeur à accueilli celui-ci avec une lettre de licenciement qui n'obéi à aucune règle ou texte du code de travail du pays ( pas d'avertissement verbal ni en écrit et avec trois mois d'arriérés de salaires).
La pauvre sentinelle se trouve présentement à Sarh pour chercher à se faire justice par rapport à son licenciement abusif.
Affaire à suivre..................
Correspondant particulier depuis Koumra.